La réponse courte : non, sauf exceptions. En France, la Sécurité sociale ne rembourse pas les compléments alimentaires, car ils ne sont pas considérés comme des médicaments. Pour autant, certaines situations précises ouvrent des portes, par exemple, les compléments nutritionnels oraux prescrits en cas de dénutrition, ou des vitamines données sur ordonnance pendant la grossesse.
Mais la vraie évolution se joue ailleurs : du côté des mutuelles. Certaines, comme Nostrum Care, ont compris que la prévention est aussi une forme de santé, et proposent désormais de rembourser une partie de nos produits greenwhey. C’est une première étape vers une reconnaissance plus large de ces produits naturels que des millions de Français consomment chaque année.
Qu’est-ce qu’un complément alimentaire ?
Un complément alimentaire, c’est un coup de pouce nutritionnel, pas une pilule miracle.
On le trouve sous forme de gélules, poudres, ampoules ou gommes, et il apporte des vitamines, minéraux, plantes ou probiotiques destinés à compléter l’alimentation. Il ne soigne pas une maladie, mais aide le corps à fonctionner normalement quand l’alimentation ne suffit plus.
La loi est claire : ces produits sont des denrées alimentaires, encadrées par un décret de 2006. Avant leur commercialisation, les marques doivent déclarer leurs formules auprès des autorités. Et s’il y a le moindre doute sur leur sécurité, une surveillance nationale, appelée nutrivigilance, peut intervenir.
Le contexte du remboursement en France
Pourquoi les compléments alimentaires ne sont-ils pas remboursés ?
Tout simplement parce qu’ils ne possèdent pas le statut de médicament.
Pour qu’un produit soit remboursé, il faut qu’il ait obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM), qu’il ait prouvé son efficacité contre une maladie, et qu’il soit prescrit dans un cadre médical défini.
Or, les compléments alimentaires n’ont pas vocation à soigner : ils soutiennent, préservent, entretiennent, et c’est précisément cette nuance qui les exclut du remboursement classique.
Seules quelques exceptions existent :
- Les compléments nutritionnels oraux (CNO) prescrits pour lutter contre la dénutrition.
- Certaines vitamines ou minéraux, comme le fer ou la vitamine B9, lorsqu’ils sont prescrits sous forme de médicament pendant la grossesse.
Pour tout le reste : probiotiques, mélatonine, oméga-3, collagène, magnésium… la Sécurité sociale ne rembourse rien.
Mais les mutuelles prennent désormais le relais. Certaines proposent des forfaits bien-être, qui permettent de se faire rembourser une partie de ses compléments, sur simple facture.
Et c’est là que le partenariat greenwhey × Nostrum Care change la donne : les produits greenwhey deviennent éligibles au remboursement via Nostrum Care.
Importance des compléments alimentaires pour la santé
On les voit partout : en pharmacie, en parapharmacie, sur Internet. Les compléments alimentaires font aujourd’hui partie de notre quotidien. Ce succès ne vient pas de nulle part.
Beaucoup de Français les utilisent pour compenser une alimentation déséquilibrée, gérer le stress, renforcer leur vitalité, ou accompagner une pratique sportive.
Les autorités de santé, elles, rappellent une chose : un complément alimentaire ne remplace pas une alimentation variée. C’est une aide ponctuelle, pas une assurance santé.
Mais dans une société où les repas sont avalés en vitesse et où le stress ronge nos réserves, cette aide peut devenir précieuse, à condition d’être bien choisie, bien dosée, et utilisée avec discernement.
Rôle dans la prévention des maladies
Les compléments alimentaires peuvent contribuer à prévenir certaines carences ou à maintenir des fonctions normales de l’organisme, c’est la terminologie autorisée par l’EFSA.
Par exemple :
- la vitamine D contribue au maintien d’une ossature normale,
- le fer à la formation normale des globules rouges,
- le magnésium au fonctionnement normal du système nerveux.
Utilisation en complément des médicaments
Certains compléments peuvent être utilisés en parallèle d’un traitement, par exemple après une chirurgie ou dans des phases de convalescence. Mais là encore, rien ne se fait sans avis médical.
Car certaines plantes ou molécules peuvent interagir avec des médicaments et peuvent donc réduire l’efficacité de certains traitements.
Connaissance des substances actives
Savoir ce qu’on consomme, c’est essentiel. Un bon complément doit afficher une composition claire, une traçabilité complète, et des doses conformes aux recommandations européennes.
Chez greenwhey, ces principes guident la formulation : des recettes courtes, naturelles et sans additifs inutiles, pensées pour allier efficacité et sécurité.
Remboursement des compléments alimentaires
Le remboursement des compléments alimentaires, c’est un peu le reflet de la place qu’on leur accorde dans notre système de santé : utile, parfois nécessaire, mais pas encore pleinement reconnu. Entre les règles strictes de la Sécurité sociale et la souplesse croissante des mutuelles, un équilibre s’installe peu à peu, celui d’une prévention considérée comme un véritable acte de santé.
Conditions de remboursement par la Sécurité sociale
En France, la règle est simple : pour être remboursé, un produit doit avoir prouvé son efficacité thérapeutique et obtenu une autorisation de mise sur le marché. Les compléments alimentaires, eux, ne remplissent pas ces conditions. Ce ne sont pas des médicaments, mais des denrées nutritionnelles destinées à compléter l’alimentation. Leur rôle est d’accompagner l’organisme, pas de traiter une maladie.
Il existe toutefois quelques exceptions bien encadrées. Les compléments nutritionnels oraux, par exemple, peuvent être pris en charge lorsqu’ils sont prescrits dans le cadre d’une dénutrition médicale. Même chose pour certains médicaments à base de fer ou de vitamine B9, souvent donnés pendant la grossesse pour prévenir une carence. Ces produits ont un statut pharmaceutique, et c’est uniquement pour cette raison qu’ils entrent dans le champ du remboursement.
Pour tous les autres, la situation est claire : probiotiques, collagène, oméga-3, mélatonine, magnésium… ne sont pas concernés. Leur achat reste à la charge du consommateur, même s’ils peuvent jouer un rôle réel dans le maintien de fonctions normales de l’organisme.
Rôle des mutuelles dans le remboursement
Face à ce vide, certaines mutuelles ont décidé de prendre le relais. Elles ont compris qu’au-delà des soins, la prévention mérite elle aussi un soutien financier. C’est dans cet esprit qu’apparaissent les forfaits bien-être, qui remboursent tout ou partie des dépenses liées aux compléments alimentaires.
La démarche est simple : le consommateur conserve sa facture, la transmet à sa mutuelle, et le remboursement se fait dans la limite du forfait prévu au contrat. Et c’est ici que Nostrum Care se distingue. En s’associant avec nous, elle reconnaît officiellement la place des compléments dans le parcours de santé moderne.
Nos produits deviennent ainsi éligibles au remboursement, une première qui illustre une évolution profonde : celle d’une mutuelle qui valorise les choix naturels, transparents et scientifiquement encadrés.
Ce partenariat ne se limite pas à un geste commercial : il traduit une conviction. Celle que la santé ne commence pas à l’hôpital, mais dans les gestes du quotidien : bien dormir, bien bouger, bien se nourrir, et parfois, se supplémenter intelligemment. Nostrum Care offre donc la possibilité de concilier ces deux mondes : la prévention et la prise en charge.
FAQ
Quels produits sont remboursés ?
Démarche de demande de remboursement
Importance de l’assurance santé
- https://www.ameli.fr/assure/sante/medicaments/effets-indesirables-et-interactions-lies-aux-medicaments/complements-alimentaires
- https://www.anses.fr/fr/content/tout-savoir-sur-le-dispositif-de-nutrivigilance
- https://www.ameli.fr/medecin/exercice-liberal/facturation-remuneration/consultations-actes/nomenclatures-codage/liste-produits-prestations-lpp






































