
Probiotiques & Prébiotiques
Notre complexe synergique de 10 souches probiotiques naturelles brevetées et de prébiotiques favorisant leur durée de vie, croissance et action. Chaque portion contient 40 Milliards d'UFC.
- 10 souches de probiotiques 💪
- Enrichi en prébiotiques 🥔
- 40 Milliards d'UFC ⬆️
- Souches déposées & étudiées 🔬
- Pot carton + couvercle compostable ♻️
Et sur tous les autres produits de la gamme santé, même en grands formats économiques ! Offre cumulable, dans la limite des stocks disponibles et valable jusqu'au 7 avril inclus.

Description
Une personne sur deux souffre de troubles intestinaux. Les troubles de la flore intestinale pourraient être responsables de plein d'autres troubles : infections ORL, infections respiratoires, infections urinaires, infections vaginales, des prises de poids, des allergies, de l’asthme, ou encore des problèmes de peau comme de l'eczéma. L'intestin est même communément appelé notre 2ième cerveau : il compte près de 200 millions de neurones et produit 80% de la sérotonine, responsable de votre bonne humeur. L'intestin peut compter jusqu’à 1 000 espèces bactériennes différentes, présentes dans des proportions très variables, pour un total avoisinant les 100 000 milliards de bactéries. Mais cet équilibre est fragilisé par l'alimentation moderne pauvre en nutriments variés et en fibres, les régimes, les maladies, la pollution, les médicaments ou encore les additifs.
Notre sélection de souches probiotiques naturelles
On a sélectionné une dizaine de souches de probiotiques naturels très importantes et étudiées scientifiquement, toutes complémentaires sur leurs effets. Les études portant sur l’intérêt de croiser les souches sont en effet formelles : elles présentent des effets transversaux de par leur interactions, comme c'est également le cas pour les vitamines et minéraux.
Probiotiques et prébiotiques : une alliance complémentaire pour votre flore intestinale
Notre mix contient également des prébiotiques qui vont booster l’effet des probiotiques. Même si les prébiotiques ne sont pas indispensables aux probiotiques, ils favorisent leur croissance et leur action. Ils vont également prolonger la durée de vie des probiotiques dans la capsule.
Acheminer les souches jusqu’à la flore intestinale
Pour faire parvenir vos probiotiques jusqu'à votre flore intestinale, nous utilisons des capsules gastrorésistantes DRcaps® qui protègent nos probiotiques naturels lors de leur passage dans l'estomac. L’estomac peut en effet détruire une bonne partie des colonies de probiotiques et détériorer les prébiotiques durant la digestion si ils ne sont pas bien protégés.
Nous avons sélectionné exclusivement des souches de probiotiques convenant à une alimentation vegan. En effet, on le sait peu, mais certaines souches ne le sont pas. Les capsules gastro-résistantes protégeant nos probiotiques naturels sont également entièrement végétales. Notre complexe de probiotiques et prébiotiques et donc certifié vegan et sans gluten.
Un équilibre fragile, souvent mis à l’épreuve
Dès la petite enfance, notre microbiote se met en place et évolue progressivement jusqu’à l’âge adulte, formant un écosystème en interaction avec l’organisme. Malheureusement, cet équilibre peut être bousculé par de nombreux élements :
- Stress et manque de sommeil : Un stress prolongé et la fatigue peuvent influencer la composition du microbiote.
- Infections digestives : Certaines infections, comme les gastro-entérites, peuvent altérer la flore intestinale.
- Antibiotiques : Indispensables en cas d’infection, ils peuvent éliminer sans distinction l’ensemble des bactéries intestinales.
- Le Mode de vie et l’environnement : La pollution, le tabac, l’alcool et les excès alimentaires (graisses, sucres, additifs…) peuvent appauvrir la diversité du microbiote et en perturber son équilibre.
Le sport intensif dégrade votre microbiote
Une activité physique régulière et modérée est considérée comme bénéfique pour l’organisme. Cependant, lorsque l’effort devient très soutenu ou excessif, certaines altérations peuvent survenir au niveau intestinal.
Et pour cause, durant un exercice prolongé ou intense, la circulation sanguine se concentre principalement sur les muscles et le cœur, ce qui réduit temporairement l’apport en oxygène de l’intestin. Par la suite, au moment où l’effort s’interrompt, le retour de sang vers la zone intestinale. Ce phénomène (ischémie-reperfusion) peut provoquer un stress oxydatif susceptible d’affecter la muqueuse et l’équilibre du microbiote. Et peut provoquer ce qu’on appelle “la perméabilité intestinale”, laissant passer des molécules indésirables dans le sang.
Repérer un microbiote possiblement perturbé
Pour repérer un microbiote perturbé, on observe parfois des signes digestifs comme des ballonnements, des inconforts après les repas, des constipations ou des diarrhées. Même si ces symptômes peuvent avoir différentes origines, ils sont fréquemment présents lors d’un déséquilibre du microbiote.
Par ailleurs, certains troubles comme une fatigue persistante, un moral en baisse ou des problèmes cutanés (ex. eczéma, urticaire) sont décrits lors d’un possible dérèglement de la flore. De même pour les infections à répétition (rhumes, maux de gorge, etc.).
Prendre soin de son microbiote
Pour prendre soin de sa flore intestinale, il est conseillé de favoriser une alimentation variée, comprenant des légumes, des fruits, des légumineuses et des céréales complètes. Ces aliments, riches en fibres, sont susceptibles d’entretenir la diversité bactérienne.
Une activité physique régulière, pratiquée à un niveau modéré, peut également aider à maintenir une bonne circulation sanguine et à limiter certains stress physiologiques. Enfin, gérer au mieux son stress et adopter une bonne hygiène de sommeil figurent parmi les facteurs importants pour soutenir son microbiote !
La plupart des probiotiques se contentent de 2 ou 3 souches, sans prébiotiques. Leur installation dans l'intestin et leur efficacité sont compromises. Les nôtres comptent 10 souches soutenues par des prébiotiques, assurant une bonne installation et synergie sur la parois intestinale.
Nutrition & Composition
Pour | 2 capsules | UFC* |
---|---|---|
Mélange de ferments lactiques | 215 mg | 40 Mrds |
Inuline de topinambour biologique | 600 mg | ― |
Inuline de topinambour biologique, fibres d’acacia, mélange propriétaire de bactéries probiotiques [lactobacillus plantarum UALp-05 (34%), lactobacillus rhamnosus UALr-18 (20%), bifidobacterium bifidum UABb-10 (17%), lactobacillus acidophilus DDS-1 (8,5%), lactobacillus reuteri UALre-16 (7,5%), bifidobacterium lactis UABla-12 (5%), lactobacillus paracasei UALpc-04 (3%), bifidobacterium breve UABbr-11 (2%), bifidobacterium longum UABI-14 (2%), lactobacillus salivarius UALs-07 (1%)], capsule d’origine végétale DRcaps® gastro-résistante (agent d’enrobage : hydroxypropylméthylcellulose).
Fabriqué dans une usine qui manipule des protéines sériques (lait) et de l'huile de poisson.
Utilisation
Prendre 2 gélules par jour.
De préférence durant les repas.
Conçu pour une utilisation tout au long de l'année.
Certificats
Précautions
Ne se substitue pas à une alimentation variée et équilibrée et à un mode de vie sain. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Tenir hors de portée des jeunes enfants. À conserver au sec, à l’abri de la chaleur et de la lumière.
Contre-indications
Réservé aux adultes. Consultez un professionnel de santé avant de prendre ce complément si vous êtes enceinte, allaitez ou avez des problèmes de santé spécifiques.
Études
Les probiotiques sont encore mal connus scientifiquement. Nous savons qu’ils ont un impact au moins neutre, et parfois bénéfique pour la santé. Il est cependant difficile de leur attribuer un véritable effet constant, et cela tient en grande partie de leur souche et de la nature de ce qu’ils sont censés influencer.
À l’intérieur de nos intestins vivent en symbiose avec nous beaucoup de microorganismes. Ceux-ci se nourrissent de ce que nous leur apportons, et ils permettent en contrepartie d’améliorer la digestibilité de nos aliments. Le microbiome intestinal varie néanmoins beaucoup entre les individus. Pour certains, les bactéries présentes sont totalement en adéquation avec leurs besoins et leur alimentation habituelle.
Pour d’autres en revanche, cela n’est pas le cas. Nous prenons le pari qu’avec notre sélection de prébiotiques (fibres insolubles servant de nourritures aux bactéries) et nos souches bactériennes active, de favoriser un bon équilibre de la flore intestinale.
Pour vous donner une idée, voici certains effets positifs du Kefir documentés dans la littérature scientifique, qui a en commun avec notre ProbioX certaines souches bactériennes.
- Une réduction des symtômes dépressifs et de la détresse gastrique
- Une diminution notable des infections d’helicobacter pylori, bactérie responsable des ulcères de l’estomac
- Une baisse du cholestérol nocif pour la santé, une augmentation du bon (HDL), une réduction de la pression sanguine et des tryglycérides
Ces résultats préliminaires encourageants nous semblent suffisants pour justifier que l’on s’intéresse de façon sérieuse aux probiotiques, et c’est chose faite aujourd’hui, grâce à ce produit.
Sources :
¹ Kefir Is A Viable Exercise Recovery Beverage For Cancer Survivors Enrolled In A Structured Exercise Program
² Kefir Improves The Efficacy And Tolerability Of Triple Therapy In Eradicating Helicobacter Pylori
³ Kefir improves blood parameters and reduces cardiovascular risks in patients with metabolic syndrome
⁴ Kefir Drink Leads To A Similar Weight Loss, Compared With Milk, In A Dairy-rich Non-energy-restricted Diet In Overweight Or Obese Premenopausal Women: A Randomized Controlled Trial
Le microbiote, un écosystème essentiel
Couramment appelée « flore intestinale », cette communauté de micro-organismes est considérée comme un véritable écosystème en interaction avec notre organisme. On estime qu’elle abrite entre 200 et 1 000 espèces bactériennes, représentant jusqu’à 100 000 milliards de micro-organismes¹. Cela peut correspondre à environ 1,5 kg chez un adulte et constituer un nombre de bactéries potentiellement supérieur à celui de nos propres cellules.
Le microbiote joue un rôle dans la digestion et la production de certaines vitamines. Les scientifiques s’intéressent également à ses interactions avec les mécanismes de régulation immunitaire et à ses liens possibles avec le système nerveux. On parle parfois d’un « deuxième cerveau ». Selon certaines études, plus de 70 % de processus liés à l’immunité seraient associés à l’intestin², et on évoque également une contribution des bactéries intestinales dans la synthèse d’une partie de la sérotonine, un neurotransmetteur impliqué dans la régulation de l’humeur. Pour reprendre l’expression du Pr. Guarner, « nous coexistons en symbiose avec notre microbiote, et l’altération de cet équilibre peut avoir des répercussions multiples »³.
Cependant, cet équilibre peut être facilement fragilisé : la consommation fréquente d’aliments ultra-transformés, la pollution, certains médicaments (comme les antibiotiques), le stress ou encore la pratique sportive très intensive. De tels déséquilibres sont souvent rapportés chez des personnes présentant des troubles digestifs (ballonnements, transit perturbé, etc.) ou d’autres inconforts. Certains micro-organismes potentiellement pathogènes, comme Helicobacter pylori (souvent associé aux ulcères gastriques), peuvent également se développer davantage lorsque la flore est affaiblie³.)
Sender R. et al., Revised Estimates for the Number of Human and Bacteria Cells in the Body, PLOS Biol. 2016
Cani, P.D., The gut microbiota manages host metabolism, Nature Reviews Endocrinology, 2014
Guarner, F. et al., Probiotics and Prebiotics: World Gastroenterology Organisation (WGO) Global Guidelines, 2017
Définition des probiotiques
Selon la définition de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), les probiotiques sont des « micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont administrés en quantités adéquates, apportent un effet bénéfique sur la santé de l’hôte »¹. Concrètement, ils viennent soutenir la communauté de bactéries déjà présente dans l’intestin, permettant de renforcer et rétablir la flore en cas de déséquilibre (dysbiose).
Le rôle des probiotiques
Lorsque l’on parle de « souches de qualité », cela fait généralement référence à des micro-organismes minutieusement sélectionnés et caractérisés, parfois déposés dans des collections officielles (telles que la Collection Nationale de Cultures de Micro-organismes de l’Institut Pasteur). Ces démarches visent à garantir leur innocuité, leur capacité de survie à travers le tractus digestif et leur adhérence au niveau intestinal, considérés comme des critères essentiels pour étudier leurs effets potentiels.
Selon certaines études¹, l’administration de certaines souches bactériennes pourrait jouer un rôle dans l’équilibre de l’écosystème intestinal, notamment en contrant la prolifération de micro-organismes indésirables comme Helicobacter pylori. Des travaux suggèrent également qu’elles pourraient réduire la gêne digestive dans certaines circonstances et influer sur la tolérance à certains traitements².
Variabilité des effets et association de souches
Les observations sur les « bactéries probiotiques » montrent qu’elles peuvent agir de façon différente selon la souche étudiée, et que chaque individu réagit de manière propre. De plus, pour que ces micro-organismes parviennent jusqu’à l’intestin, ils doivent être protégés (par des technologies comme les gélules résistantes à l’acidité gastrique) et nourris (via des sources de prébiotiques), ce qui constitue un champ d’étude actif pour optimiser leur implantation.
FAO/WHO, *Probiotics in food: health and nutritional properties and guidelines for evaluation*, 2006
Boehm M. et al., *Kefir Improves The Efficacy And Tolerability Of Triple Therapy In Eradicating Helicobacter Pylori*, 2019
L’importance des prébiotiques
Les prébiotiques sont des substances alimentaires que l’organisme ne digère pas, mais qui peuvent servir de substrat à certaines bactéries de la flore intestinale¹.
Prébiotiques et probiotiques : une association étudiée
Les produits combinant des souches probiotiques à des prébiotiques cherchent à favoriser la croissance et l’activité des bactéries introduites, tout en soutenant également celles déjà présentes dans l’intestin. Des travaux de recherche² suggèrent que l’association de fibres prébiotiques et de micro-organismes vivants peut accroître la diversité microbienne, comparativement à l’utilisation de probiotiques seuls. Toutefois, il est important de noter que les effets observés peuvent varier d’une étude à l’autre et d’une personne à l’autre.
Une action en douceur : l’exemple de l’inuline
Certaines fibres, comme l’inuline issue de divers végétaux (ex. racine de chicorée, topinambour), font l’objet de recherches quant à leurs propriétés prébiotiques. Des témoignages rapportent que l’inuline de topinambour peut être mieux tolérée à certaines doses, comparée à d’autres types de fibres, mais la sensibilité demeure spécifique à chaque individu.
Gibson GR, Roberfroid MB, *Dietary modulation of the human colonic microbiota: introducing the concept of prebiotics*, J Nutr. 1995
Sarao LK, Arora M, *Probiotics, prebiotics, and microencapsulation: A review*, Crit Rev Food Sci Nutr. 2017
Nos 10 souches déposées
Dans le but de proposer une formule de qualité, 10 souches de bactéries ont été sélectionnées, chacune étant déposée et caractérisée pour des critères précis (tels que leur capacité de survie en milieu acide ou leur profil d’adhésion aux muqueuses).
Lactobacillus plantarum UALp‑05
Parmi les souches de notre complexe, Lactobacillus plantarum UALp‑05 est considérée comme l’une des plus polyvalentes en raison de son profil scientifique et de son usage répandu dans le domaine des compléments alimentaires. Des études¹ portant sur ce type de lactobacille se sont intéressées à son potentiel de colonisation dans l’intestin ainsi qu’aux modifications observées sur l’équilibre de la flore en association avec d’autres bactéries (bifidobactéries, par exemple).
Selon certaines de ces recherches, Lactobacillus plantarum peut être impliqué dans la maintenance de l’équilibre microbien intestinal, pouvant s’accompagner d’une réduction de certains inconforts tels que ballonnements ou sensations de lourdeur. Toutefois, les données demeurent spécifiques aux souches étudiées et ne sont pas systématiquement extrapolables à l’ensemble des populations.
Johansson ML et al., *Administration of different Lactobacillus strains in fermented oatmeal soup: in vivo colonization of human intestinal mucosa and effect on the indigenous flora*, Appl Environ Microbiol, 1993
Lactobacillus rhamnosus UALr-18
Parmi les souches de notre sélection, Lactobacillus rhamnosus UALr-18 se distingue par sa capacité d’adhérence aux parois intestinales, décrite dans plusieurs travaux¹. Selon certaines études, ces mécanismes d’adhésion pourraient contribuer à limiter l’installation de micro-organismes indésirables et à soutenir l’intégrité de la barrière intestinale. Les résultats, toutefois, varient en fonction de la souche spécifique et du contexte d’étude.
D’autres publications² s’intéressent à son impact potentiel sur la régulation du transit et la réduction de certains inconforts digestifs, comme les ballonnements. Certains auteurs évoquent également un effet sur des marqueurs liés à la réponse immunitaire.
Dotterud C. et al., *Probiotics in pregnant women to prevent allergic disease: a randomized, double‐blind trial*, British Journal of Dermatology, 2010
Boehm M. et al., *Kefir Improves The Efficacy And Tolerability Of Triple Therapy In Eradicating Helicobacter pylori*, 2019
Bifidobacterium bifidum UABb‑10
La souche Bifidobacterium bifidum UABb‑10 est naturellement retrouvée dans le côlon. Selon certaines recherches¹, elle est impliquée dans la fermentation des fibres alimentaires et la production d’acides gras à chaîne courte (AGCC). Ceux-ci font l’objet d’études pour leur rôle potentiel dans le soutien de la muqueuse intestinale.
Compte tenu de sa localisation privilégiée au niveau du côlon, cette souche suscite l’intérêt pour son éventuelle contribution au maintien de la diversité microbienne, un facteur souvent considéré comme important pour le confort digestif.
Ouwehand AC. et al., *Health benefits of probiotics: are mixtures more effective than single strains?*, Eur J Nutr. 2011
Lactobacillus acidophilus DDS‑1
La souche Lactobacillus acidophilus DDS‑1 est fréquemment citée dans la littérature¹ pour sa robustesse et son aptitude à survivre tout au long du tractus digestif, en particulier dans l’intestin grêle. Selon certains travaux, elle produit de l’acide lactique et d’autres molécules susceptibles d’inhiber la croissance de micro-organismes indésirables, ce qui pourrait contribuer à l’équilibre de l’environnement intestinal.
Par ailleurs, L. acidophilus DDS‑1 fait l’objet de recherches portant sur son rôle potentiel dans la fermentation de certains sucres et l’impact sur le confort digestif, notamment pour les personnes ayant suivi un traitement médicamenteux.
Sanders ME, Klaenhammer TR, *Invited Review: The Scientific Basis of Lactobacillus acidophilus DDS-1 and its Importance in Dairy Products*, J Dairy Sci. 2001
Lactobacillus reuteri UALre‑16
La souche Lactobacillus reuteri UALre‑16 se distingue par sa production d’une molécule appelée reutérine, étudiée pour son rôle dans la limitation de la croissance de certains micro-organismes indésirables¹. En raison de ce mécanisme, elle suscite l’intérêt des chercheurs pour son impact potentiel sur la barrière intestinale et la capacité à réduire l’adhérence de bactéries pathogènes.
Des travaux² suggèrent également que L. reuteri pourrait être impliqué dans l’amélioration de certains inconforts digestifs, même si ces observations dépendent de facteurs variés (type de population étudiée, dosage, contexte clinique, etc.). Comme pour d’autres probiotiques, la robustesse des résultats et leur généralisation restent à l’étude.
Casas IA et al., *Evaluation of the probiotic potential of Lactobacillus reuteri RC-14*, Int Dairy J. 1998
Valeur N. et al., *Lactobacillus reuteri in children with chronic constipation*, J Pediatr Gastroenterol Nutr. 2010
Bifidobacterium lactis UABla‑12
La souche Bifidobacterium lactis UABla‑12 fait l’objet de nombreuses recherches¹ pour son implication dans le maintien d’un environnement intestinal stable. Selon certains travaux, elle participerait à la transformation de nutriments et contribuerait à la production d’acides gras à chaîne courte (AGCC), souvent évoqués dans le cadre du maintien de l’équilibre du côlon.
Picard C. et al., *Review article: Bifidobacteria as probiotic agents – physiological effects and clinical benefits*, Aliment Pharmacol Ther. 2005
Szajewska H., *Probiotics and prebiotics in prevention and treatment of diseases in infants and children*, Adv Nutr. 2018
Lactobacillus paracasei UALpc‑04
Selon certaines publications¹, Lactobacillus paracasei UALpc‑04 se caractériserait par sa capacité à persister dans l’intestin et à limiter la présence de micro-organismes indésirables, potentiellement en soutenant l’intégrité de la barrière intestinale. Des observations scientifiques évoquent également un effet possible sur le confort digestif et la modulation de certaines fonctions immunitaires, par le biais de la production d’acide lactique et d’enzymes spécifiques.
¹Rayes N. et al., *Early enteral supply of lactobacillus and fiber versus conventional nutrition: a controlled trial in patients with major abdominal surgery*, Nutrition, 2002
Bifidobacterium breve UABbr‑11
La souche Bifidobacterium breve UABbr‑11 est souvent identifiée dans le microbiote des nourrissons¹. Elle suscite également l’intérêt des chercheurs pour sa présence dans l’intestin adulte, où elle participe à la fermentation de certains glucides complexes et à la production d’acides gras à chaîne courte (AGCC). Ces AGCC font l’objet d’études quant à leur rôle dans le maintien de la muqueuse intestinale.
Makino H. et al., *Bifidobacterial species in the fecal samples of allergic and non-allergic infants*, Biosci Biotechnol Biochem. 2015
Mitsuoka T., *Bifidobacteria and Their Role*, ISME J. 2014
Bifidobacterium longum UABI‑14
La souche Bifidobacterium longum UABI‑14 suscite l’intérêt des chercheurs pour son implication dans la fermentation des fibres alimentaires et la production d’acides gras à chaîne courte (AGCC), des composés étudiés pour leur rôle potentiel dans le maintien de la barrière intestinale. B. longum est également mentionné comme l’une des espèces les plus abondantes du microbiote, souvent associé à un environnement moins propice à la croissance de micro-organismes indésirables.
Rossi M. et al., *Folate production by probiotic bacteria*, Nutrients, 2011
Cani PD., *The gut microbiota manages host metabolism*, Nat Rev Endocrinol, 2014
Lactobacillus salivarius UALs‑07
La souche Lactobacillus salivarius UALs‑07 fait l’objet de travaux de recherche¹ portant sur sa capacité à produire des molécules antimicrobiennes (comme certaines bactériocines), susceptibles de limiter la présence de micro-organismes indésirables. Dans le cadre d’études explorant ses interactions avec la muqueuse buccale et intestinale, L. salivarius est souvent évoqué en raison de son potentiel à maintenir un environnement équilibré.
Invernici M.M. et al., *Effectiveness of multi-strain versus single-strain probiotics: current status and recommendations for the future*, J Clin Gastroenterol. 2018
Qualité et traçabilité
Pour pouvoir affirmer que nos souches sont « brevetées » ou « déposées », elles ont fait l’objet d’un enregistrement (auprès d’organismes spécialisés tels que la Collection Nationale de Cultures de Micro-organismes de l’Institut Pasteur), ainsi que de tests poussés :
- Études de sécurité (innocuité, absence de gènes de résistance inquiétants)
- Études de stabilité (capacité à rester viables jusqu’à la DLUO, même à température ambiante)
- Études d’adhérence (aptitude à se fixer sur les parois de l’intestin et y exercer leurs actions)
Le dosage est tout aussi important : nous avons choisi une concentration de 40 milliards d’UFC (Unités Formant Colonie) par portion (2 gélules). Ce niveau d’UFC résulte de recherches pour fournir une quantité optimale qui reste efficace dans le temps. Même après plusieurs mois de stockage, la population de bactéries reste largement supérieure au seuil requis ².
40 milliards d’UFC par portion
Pour optimiser la présence de nos 10 souches au niveau intestinal, nous avons retenu un dosage de 40 milliards d’UFC (unités formant colonie) par portion (2 gélules). D’après différentes recherches¹, partir sur un nombre élevé de bactéries vivantes peut :
- Compenser les éventuelles pertes subies avant et pendant la traversée de l’estomac, même lorsque les souches sont protégées par un enrobage gastro-résistant.
- Maintenir une population de micro-organismes viables au fil du stockage, afin de garantir une quantité encore substantielle quelques mois après la production.
Pourquoi 40 milliards ?
Notre objectif est de maintenir un taux de bactéries vivantes satisfaisant jusqu’à la fin de la durée de conservation du produit. Pour cela, nous avons opté pour un dosage initial de 40 milliards d’UFC (Unités Formant Colonie), afin de compenser les dégradations éventuelles (transport, stockage, variations de température, etc.). Ce seuil se veut un équilibre entre :
- L’intérêt d’une quantité suffisamment élevée pour garantir la viabilité des souches au fil du temps.
- La volonté d’éviter une simple « surenchère » marketing autour du nombre d’UFC³.
Toutes les souches sélectionnées font l’objet de tests de résistance (acidité gastrique, écarts de température) et doivent être capables de persister au niveau intestinal dans des conditions optimales. Ainsi, la formule vise à assurer la présence d’un nombre significatif de bactéries jusqu’à la fin de vie du produit.
Wilkins T., *Probiotics for Gastrointestinal Conditions: A Summary of the Evidence*, 2017
Chapman CM. et al., *Health benefits of probiotics: are mixtures more effective than single strains?*, Eur J Nutr. 2011
Ouwehand AC., *Effectiveness of multi-strain versus single-strain probiotics*, J Clin Gastroenterol. 2018
Soutien digestif et confort
Selon plusieurs travaux¹, l’ajout de lactobacilles et de bifidobactéries dans l’alimentation ou via des compléments peut être associé à :
- Une régularisation du transit, avec un impact potentiel sur les ballonnements et la consistance des selles.
- La production d’acides gras à chaîne courte (AGCC), souvent étudiés pour leur rôle dans le maintien de la muqueuse intestinale.
- La limitation de la croissance de certains micro-organismes indésirables, susceptibles de générer inconforts et fermentations excessives.
Par ailleurs, en soutenant un équilibre microbien, ces souches pourraient contribuer à réduire l’inflammation locale et à préserver l’intégrité de la barrière intestinale³. Wilkins T., *Probiotics for Gastrointestinal Conditions: A Summary of the Evidence*, 2017
Rayes N. et al., *Early enteral supply of lactobacillus and fiber versus conventional nutrition: a controlled trial in patients with major abdominal surgery*, Nutrition, 2002
Ouwehand AC., *Health benefits of probiotics: Are mixtures more effective than single strains?*, Eur J Nutr. 2011
Lien entre microbiote et réponse immunitaire
On estime qu’environ 70 % du système immunitaire est associé à l’intestin¹. De nombreuses recherches s’intéressent donc au rôle que peut jouer l’équilibre de la flore intestinale dans la régulation de certaines réponses immunitaires. Selon certaines études², des bactéries comme Lactobacillus rhamnosus ou Bifidobacterium lactis pourraient moduler la réponse de l’organisme en limitant la prolifération de micro-organismes indésirables et en produisant des substances (acides lactiques, enzymes) susceptibles de renforcer l’intégrité de la barrière intestinale.
Cette barrière agit comme une frontière naturelle contre les intrusions (toxines, pathogènes) et contribue au maintien d’un environnement propice aux échanges contrôlés entre le contenu intestinal et l’organisme. Dans ce contexte, des fibres qualifiées de prébiotiques peuvent également soutenir la croissance et la résilience des souches bénéfiques.
Sekirov I. et al., *Gut Microbiota in Health and Disease*, Physiol Rev. 2010 Dotterud C. et al., *Probiotics in pregnant women to prevent allergic disease: a randomized, double‐blind trial*, Br J Dermatol. 2010
Cani PD., *The gut microbiota manages host metabolism*, Nat Rev Endocrinol. 2014
Bien-être et Vitalité
Selon de nombreuses recherches¹, l’intestin et l’organisme entretiennent des interactions étroites, en particulier via l’axe intestin-cerveau, souvent cité pour son rôle dans la production de neurotransmetteurs comme la sérotonine (impliquée dans la régulation de l’humeur et la gestion du stress). Dans ce contexte, plusieurs études² s’intéressent à l’incidence que pourraient avoir certaines bactéries (Lactobacillus, Bifidobacterium, etc.) sur des marqueurs liés à l’inflammation, ce qui pourrait influencer la sensation de bien-être et l’énergie au quotidien.
Lorsque ces souches dites « probiotiques » sont associées à des fibres prébiotiques, il se crée un environnement propice à la production de composés (métabolites) susceptibles de favoriser un équilibre global.
Cryan JF. et al., *The gut microbiota and the brain-gut axis*, Int J Neuropsychopharmacol. 2019
Ouwehand AC., *Effectiveness of multi-strain versus single-strain probiotics*, J Clin Gastroenterol. 2018
Messaoudi M. et al., *Assessment of psychotropic-like properties of a probiotic formulation in rats and humans*, Br J Nutr. 2011
Adapté à la Vie Moderne et à la Vie du Sportif
Entre la qualité variable de l’alimentation, la pollution, le stress quotidien et une pratique sportive parfois très intense, l’équilibre du microbiote peut facilement être perturbé¹. Des rythmes de vie chargés, un sommeil de moindre qualité et un apport insuffisant en fibres sont autant de facteurs susceptibles de réduire la diversité microbienne au fil du temps.
Les défis liés à un sport intensif
Chez les sportifs, on parle parfois de « reperfusion intestinale » : durant un effort prolongé, le sang est principalement dirigé vers les muscles, le cœur et le cerveau, réduisant momentanément l’apport d’oxygène à l’intestin. Une fois l’effort interrompu, l’intestin reçoit à nouveau un afflux de sang, ce qui peut provoquer un stress oxydatif et, dans certains cas, une inflammation locale².
Cette situation est susceptible d’augmenter la perméabilité de la paroi intestinale, parfois décrite comme un « intestin poreux », et pourrait favoriser des perturbations digestives (inconfort, crampes, selles plus fréquentes) ou un déséquilibre du microbiote.
Études sur les probiotiques et la réduction des symptômes digestifs
Divers essais cliniques réalisés en Europe et au Canada ont exploré l’impact de souches probiotiques (particulièrement des lactobacilles et bifidobactéries) sur la qualité de la digestion. Les observations de ces travaux suggèrent souvent une diminution des ballonnements, une amélioration du transit et une réduction des inconforts intestinaux pour certaines populations étudiées.
Dans ce cadre, l’équilibre de la flore – lorsqu’il est soutenu par des probiotiques de haute qualité (incluant un dosage adéquat en UFC afin de maintenir une quantité viable jusqu’à la date limite d’utilisation) – est parfois associé à une limitation de la présence de souches indésirables comme Helicobacter pylori. Cette bactérie est reconnue pour son lien avec les ulcères gastriques. Selon les travaux du Pr. Guarner, par exemple, des souches soigneusement sélectionnées et déposées (telles que celles retrouvées dans certains complexes brevetés) pourraient contribuer à un meilleur confort digestif global.
Inconfort intestinal et mode de vie
Selon diverses recherches, un mode de vie moderne caractérisé par une alimentation pauvre en fibres, un stress quotidien soutenu et une exposition à la pollution peut influer sur l’équilibre naturel du microbiote¹. Ce déséquilibre se traduit fréquemment par des symptômes digestifs tels que ballonnements, irrégularités du transit ou sensations de lourdeur après les repas.
Plusieurs travaux scientifiques suggèrent qu’une intervention ciblée faisant appel à des probiotiques et des prébiotiques peut contribuer à maintenir ou retrouver un équilibre microbien satisfaisant. Dans ce contexte, notre formule synergique associe 10 souches de probiotiques soigneusement sélectionnées à des prébiotiques, dans l’optique de soutenir la diversité du microbiote et de réduire l’inconfort digestif lié aux aléas de la vie moderne.
Constipation et rôle du microbiote
La constipation est fréquemment associée à un ralentissement du transit, phénomène susceptible d’être influencé par la composition de la flore intestinale. Une alimentation pauvre en fibres et nutriments variés peut, selon certains travaux, réduire la production d’acides gras à chaîne courte (AGCC), des composés étudiés pour leur rôle dans la stimulation du péristaltisme.
Des études¹ soulignent que moduler le microbiote intestinal (par exemple via l’introduction de bactéries sélectionnées ou de prébiotiques) pourrait contribuer à améliorer le transit et à atténuer certains inconforts liés à la constipation. Notre formule associe plusieurs souches et fibres fermentescibles avec pour objectif de soutenir la diversité microbienne.
Cani, P.D., *The gut microbiota manages host metabolism*, Nat Rev Endocrinol, 2014
Syndrome du côlon irritable (SCI)
Le syndrome du côlon irritable se manifeste généralement par des douleurs abdominales, des ballonnements et des troubles du transit (diarrhée et/ou constipation). D’après certaines études, moduler le microbiote pourrait contribuer à atténuer ces symptômes, au moins chez certaines populations. Les travaux de Cani PD, par exemple, évoquent le rôle qu’un équilibre microbien pourrait jouer dans la santé digestive et l’inconfort intestinal.
Défense contre les micro-organismes indésirables
Des travaux scientifiques¹ suggèrent que certaines bactéries qualifiées de « probiotiques », notamment parmi les lactobacilles et bifidobactéries, pourraient soutenir la barrière intestinale. En s’installant au niveau de la muqueuse, elles contribueraient à limiter l’adhérence et la prolifération de micro-organismes indésirables tels que Helicobacter pylori. Selon la documentation existante², ce mécanisme peut favoriser un environnement plus stable dans l’intestin.
FAO/WHO, *Probiotics in Food: Health and Nutritional Properties and Guidelines for Evaluation*, 2006
Guarner, F. et al., *Probiotics and Prebiotics: World Gastroenterology Organisation Global Guidelines*, 2017
Les diarrhées (diarrhée du voyageur et diarrhée associée aux antibiotiques)
Les diarrhées du voyageur et les diarrhées associées aux antibiotiques (DAA) peuvent fréquemment être mises en lien avec un déséquilibre de la flore intestinale. Lors d’un séjour dans un environnement différent, l’ingestion de nouveaux micro-organismes peut perturber la composition habituelle du microbiote, ce qui déclenche la diarrhée du voyageur. Dans le cas de la DAA, les antibiotiques éliminent simultanément des bactéries pathogènes et bénéfiques, aboutissant à un déséquilibre (dysbiose).
FAO/WHO, *Probiotics in Food: Health and Nutritional Properties and Guidelines for Evaluation*, 2006
Cani, P.D., *The gut microbiota manages host metabolism*, Nat Rev Endocrinol, 2014
Résultats cliniques et observations sur les complexes probiotiques
Plusieurs travaux cliniques menés en Europe et au Canada se sont intéressés à l’association de probiotiques et de prébiotiques, suggérant qu’elle pourrait être corrélée à une amélioration du confort digestif et à un maintien plus robuste de la barrière intestinale.
Par exemple, dans Nature Reviews Endocrinology (2014), Cani et al.¹ ont mis en évidence que la modulation du microbiote par un apport ciblé en souches probiotiques pouvait avoir un impact sur le transit intestinal, la réduction des ballonnements et le support à l’absorption de certains nutriments. De même, l’OMS et des chercheurs comme le Pr. Guarner soulignent l’importance d’apporter un nombre suffisant d’UFC (unités formant colonie) pour favoriser la persistance des bactéries, ce qui justifie un dosage conséquent – par exemple 40 milliards d’UFC par portion.
Des études portant sur des formulations multi-souches (comprenant notamment lactobacilles et bifidobactéries) évoquent également une action synergique, dans laquelle la diversité bactérienne pourrait limiter la présence de micro-organismes indésirables (par exemple Helicobacter pylori) et réduire certains inconforts digestifs (ballonnements, transit irrégulier). D’après ces recherches, un usage régulier du complexe pendant 6 à 12 semaines serait associé à une amélioration notable de différents troubles digestifs et à un bien-être intestinal perçu comme plus stable.
Formats et durée d’utilisation conseillée
La plupart des publications scientifiques s’intéressant aux probiotiques¹ suggèrent qu’une prise régulière sur plusieurs semaines peut favoriser un meilleur équilibre du microbiote. Ainsi, de nombreux experts recommandent en général de maintenir la consommation sur au moins 6 semaines, afin de laisser aux souches le temps de s’implanter et de stabiliser leur présence dans l’intestin.
Des recherches, comme celles évoquées par Cani PD. (The gut microbiota manages host metabolism, Nat Rev Endocrinol, 2014), indiquent qu’une utilisation prolongée pourrait contribuer à consolider les changements observés dans la flore.
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FAQ
Combien de temps dure une cure de probiotiques ?
La durée recommandée peut varier d’une personne à l’autre, car elle dépend de nombreux facteurs (profil du microbiote, alimentation, rythme de vie, etc.). Néanmoins, les études suggèrent qu’une prise régulière pendant environ 6 semaines pourrait permettre aux souches de s’implanter et de soutenir davantage l’équilibre intestinal.
A quel moment de la journée prendre des probiotiques ?
Il est conseillé de prendre vos probiotiques le matin, idéalement avant le petit-déjeuner. Pendant la nuit, l’estomac est en repos et l’acidité est généralement moins prononcée, ce qui favorise la survie des bactéries.
Quel aliment est riche en probiotiques naturels ?
Le yaourt, par exemple, est particulièrement apprécié pour sa richesse en bactéries lactiques telles que les Lactobacillus et les Bifidobacterium. Le kéfir offre une variété encore plus large de souches bénéfiques. D’autres aliments, comme la choucroute, le kimchi, ou encore le kombucha, apportent également leur lot de micro-organismes vivants.
Pourquoi 40 milliards d’UFC ?
Nous avons opté pour 40 milliards d’UFC par portion afin d’assurer une efficacité maximale de nos souches probiotiques, même en tenant compte des pertes inévitables dues au passage dans l’estomac.
Ce dosage est suffisamment élevé pour garantir qu’à la fin de la durée de vie du produit (la DLUO), le nombre de bactéries actives reste bien au-dessus du seuil minimum.
Les bactéries influent-elles sur l’immunité ?
Il est souvent avancé que 70 % du système immunitaire est associé à l’intestin, ce qui fait du microbiote un acteur potentiel dans la régulation de certaines réponses immunitaires.
Pourquoi le microbiote est-il si important ?
Le microbiote est essentiel car il régule la digestion, aide à produire des vitamines et joue un rôle clé dans notre système immunitaire. En influençant même notre humeur, on l’appelle parfois le « deuxième cerveau ».
Quels sont les probiotiques les plus efficaces ?
Il n’existe pas un probiotique universellement "le plus efficace", car cela dépend de vos besoins. Toutefois, notre produit contient des souches parmi les plus étudiées, notamment Lactobacillus rhamnosus, Lactobacillus plantarum et Bifidobacterium longum. Des recherches suggèrent qu’elles pourraient soutenir différentes fonctions, notamment en lien avec la digestion.
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